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Ce monde qui nous entoure : Au commencement l’Eau L’histoire de l’Homme commence avec l’histoire de l’eau. Une très longue histoire. Pour rappeler quelques notions : le corps humain est composé d’eau à plus de 70%, chez un embryon de 3 jours c’est 94%. La surface de la Terre est couverte à 70% par l’eau. L’eau est un des quatre éléments. Au plan symbolique, l’eau revêt deux significations opposées : d’un coté, le renouveau, la purification, de l’autre, la destruction, le Déluge. Les Etrusques inventèrent l’urbanisme et la prise en compte de l’eau dans ces aspects positifs et négatifs. Les Romains (sourciers !) continuèrent et développèrent un savoir particulier dans la recherche de sources thermales à des fins thérapeutiques. En Orient, le Feng Shui, qui signifie Vent et Eau, est également une forme de géobiologie appliquée à des flux d’énergie d’origine tellurique bénéfiques ou non. Mais cette ancienne discipline taoïste n’a pas grand-chose à voir avec la décoration intérieure à la mode. En résumé, l’eau revêt des capacités positives en tant que source de vie et négatives de par les influences qu’elle peut subir et qu’elle peut induire. L’eau doit également être comprise comme un média qui capte et retient l’information, la transporte, la transmet.
De nombreuses veines d’eau ou cours d’eau souterrains parcourent le sous sol. L’eau s’installe dans des discontinuités, ou des « failles ». L’inertie de la rotation de la terre – qui tourne sur elle-même à la vitesse de 40 000 Km par jour – lui imprime un mouvement. Celui-ci génère à son tour par frottements une libération d’électrons qui remontent à la surface au droit des rives du cours d’eau. Ces électrons génèrent à leur tour un courant électrique qui peut atteindre 100 millivolts et plus. Enfin, ce courant électrique agit sur ce qui y est exposé. Les veines d’eau « coupent » les autres courants nourriciers telluriques. C’est également le cas pour les zones de marais.
L’eau peut également « creuser » des galeries souterraines et des cavités par érosion. Certaines sont spectaculaires, comme dans le Sud-ouest de la France (Gouffre de Padirac, Grotte de Betharram…). Ceci nous amène à préciser la notion de « failles ».
Les failles Le sous sol est constitué de multiples empilements de roches et minéraux de différentes natures, sédiments, érosion, etc. Ceux-ci ne sont ni homogènes ni réguliers. Enfin, l’écorce terrestre au cours des âges a été secouée en permanence par des mouvements violents : tremblements de terre, éruptions volcaniques, dérives continentales entrainant par exemple la constitution de chaines de montagnes. Ce sous sol garde la trace de multiples fractures, effondrements, soulèvements, etc. D’où le terme de discontinuités ou de failles. Elles représentent un risque pour la santé. En effet, elles constituent les chemins privilégiés de sortie des rayonnements Gamma (rayons ionisants) issus du centre de la terre. Toute faille n’est pas nécessairement occupée par un cours d’eau souterrain.
Le Radon 222 C’est un élément naturel radioactif qui se trouve également dans la nature, émis naturellement par les roches qui contiennent encore des traces d’éléments radioactifs, comme le granit. Libéré sous forme gazeuse, il est plus lourd que l’air et tend à s’accumuler dans les cavités. Il est par ailleurs soluble dans l’eau.
La Géobiologie s’attache à détecter ces sources de pollution naturelle avec attention.
Les réseaux vibratoires Pour comprendre les forces invisibles qui nous entourent, il faut comprendre leur origine. Revenons à l’écorce terrestre, le sol dur sur lequel nous vivons. Elle ne représente qu’une quarantaine de kilomètres d’épaisseur en moyenne sur un diamètre de la Terre de l’ordre de 13 000 km soit moins de trois pour mille. Progressivement, plus l’on va vers le centre de la Terre, plus la température augmente pour atteindre plus de 5000 degrés. L'intérieur de la Terre est constitué d'un certain nombre de couches superposées, qui se distinguent par leur état solide, liquide ou plastique, ainsi que par leur densité et leur température. Le centre ou « noyau » est solide en raison de la compression. Il est constitué principalement de fer et de nickel dont la température est supérieure à 5000 degrés. Autour de lui, le noyau externe est à l’état liquide. Sa température décroit de 5000 à 3500 degrés. Cette couche est animée par de forts mouvements de convection qui remontent dans le manteau, situé sous l’écorce terrestre. Cette température est maintenue par la permanence des réactions de fission nucléaire qui s’y produisent en permanence. Ces réactions entrainent l’émission de forts rayons ionisants de la fréquence du rayonnement gamma qui remontent jusqu’à la surface. D’autre part, tout métal soumis à la chaleur émet des radiations. Or l’ensemble des métaux est contenu dans la masse de la terre. Les plus abondants étant le fer et le nickel. En conséquence, ces métaux émettent des rayonnements qui se manifestent, en surface, sous la forme de « réseaux » ou de quadrillages ayant des dimensions et particularités qui leur sont propres. Ces principaux réseaux et manifestations ont été mis en évidence par des chercheurs. A l’origine de ces recherches l’abbé Bouly qui a inventé le terme de « radiesthésie », l’abbé Mermet, créateur du « pendule », le Dr Peyré qui communiqua ses découvertes à l’Académie des Sciences en 1940. Puis ce fut la guerre. Il faut attendre les années cinquante pour véritablement mettre en évidence les premiers réseaux vibratoires. Le Dr Ernst Hartmann, médecin de l’université de Heidelberg en Allemagne, décrit vers 1950 le premier réseau vibratoire nord-sud auquel il donne son nom. Il créé en 1961 un groupe d’études en géobiologie. Il est considéré de ce fait comme le fondateur de la géobiologie et de la géopathologie modernes. En même temps le Dr Curry, météorologiste allemand, découvre un autre réseau orienté à quarante cinq degrés qui porte son nom. En conséquence de ce que nous avons vu plus haut, le réseau Hartmann est celui associé au nickel et le Curry à celui du fer. La Terre est un objet fortement métallique en rotation. Elle « fabrique » (émet) en permanence des électrons animant des courants électriques et créant un champ magnétique important, variable en intensité, dans le temps et en lieu : une dynamo en quelque sorte. D’où l’existence de « pôles magnétiques » différents des pôles géographiques. Certains chercheurs affirment que ces courants électriques se constituent également en un réseau à la surface de la Terre que l’on nomme Grand Réseau Diagonal, nommé ainsi parce qu’il est orienté à quarante cinq degrés et que ses cloisons sont espacées d’environ trente-six mètres. Revenons à ce champ magnétique terrestre. Ce champ a une telle importance qu’il s’étend en deux zones successives jusqu’à 10 000 km de la Terre pour la première et 65 000 km pour la seconde. Ces champs qui retiennent des particules sous forme de plasma constituent les ceintures de Van Allen, du nom de l’astrophysicien américain à l’origine du projet de satellite de recherche Explorer 1 qui les mit en évidence en 1958. Les ceintures de Van Allen permettent de protéger la Terre des rayonnements et particules à très hautes énergies venus du soleil et du cosmos tout en laissant passer un rayonnement plus bénéfique : la lumière et la chaleur. La vie sur Terre ne serait pas possible sans cette protection. Ce rayonnement solaire en partie « filtré », se manifeste lui aussi sous la forme d’un réseau. Les spécialistes le nomment Réseau Solaire, mais il est plus connu sous le nom de Réseau Sacré. En effet, les églises templières des arts roman et gothique, sont construites de telle manière à placer l’autel sur un croisement de ce quadrillage du Réseau Sacré, entre autre.
L’influence des cours d’eau souterrains, des failles et de ces différents rayonnements nous amène à aborder la notion d’agressivité. A celle-ci peut d’ailleurs s’ajouter le phénomène des ondes de formes dont certaines se révèlent particulièrement agressives dans l’architecture moderne. Comment ces manifestations influent-elles sur la vie, notre bien-être, notre santé ?
Agressivité : Pour parler d’agressivité, ou d’agression, il faut intégrer trois idées. En premier, l’agression se définit par deux facteurs : l’intensité et la durée. Combien de temps peut-on supporter un son strident, être exposé à un rayonnement, une radiation ? Tel est l’objet de la plupart des études. La notion de « supplice chinois » s’applique à des faibles intensités prolongées dans le temps jusqu’à devenir mortelles. En second, en matière géobiologique dirons-nous, les effets de plusieurs perturbations simultanées ne s’additionnent pas, ils se multiplient. Concrètement, si l’on créé une échelle d’agressivité de 1 à 5, un cours d’eau souterrain de facteur d’agressivité 4, avec une faille de facteur d’agressivité 5 et un croisement curry de facteur d’agressivité de 3 ne feront pas une agressivité de 4+5+3=12 mais de 4x5x3= 60 ! En troisième, la meilleure stratégie c’est l’évitement. Cela va de soi, direz-vous… lorsque l’on sait que des rayonnements ont parcouru plusieurs milliers de km ; sauf que le marché des grigris en tout genre fait florès…pour le seul bénéfice de ceux qui les vendent ! Peut-on alors vraiment nier les notions d’agressivité et de risque ? Le débat ne fait aujourd’hui aucun doute, tant le nombre d’études et leur ancienneté apporte chaque jour la confirmation des observations menées depuis si longtemps. (1)(2). Il est donc préférable d’éviter de placer son lit, son bureau, un lieu de vie et de partage sur un cours d’eau souterrain, une faille et encore moins sur un croisement de cours d’eau souterrain, un croisement de failles ; rester exposé en permanence à des champs électriques, électromagnétiques au-dessus d’un certain seuil ; de même pour les hyperfréquences, les éoliennes, etc… Il en va de même pour les animaux, bovins, porcins enfermés, chevaux dans des boxes 23h par jour….et tout organisme vivant comme le stockage de nourriture, la fermentation. "Un jour, je visitais une maison et j'informais son occupant de ne pas dormir à cet endroit précis. Il me prit pour un fou. Douze ans plus tard il mourrait d'un cancer." Dr Ernst Hartmann.
Pour évaluer, identifier localiser précisément les manifestations cosmotelluriques et les pollutions artificielles, la démarche consiste à exécuter une étude ou une « expertise géobiologique ».
(1) - Dans les années cinquante-soixante, le Dr Picard qui, le premier, fait des études poussées sur la relation entre les habitats et les maladies de leurs habitants. Il découvre que les habitants d’un quartier de Moulins, construit sur d’anciens marais, ont un taux de cancer deux fois supérieur à la moyenne nationale. Ses études sont à l’origine des études géobiologiques en France. |